Du 17 février au 17 mars
Avec ses photographies d’arbres illuminés dans la forêt la nuit, le photographe procède à une “mise en portrait” qui isole et met en lumière le sujet, transforme de manière subtile, mais sublime, le tableau d’une nature autrement anonyme. Un espace onirique se déploie, et devant ces arbres comme élevés au rang de bois sacré, chacun se fera son film.