Du 3 juin au 1er juillet
Dans la solitude matinale de la chaume, dans les soleils glacés des petits matins, parmi les brumes déchirées de lumières sauvages, là où de longs silences filent vers le crépuscule des forêts, le photographe déroule son imaginaire de chemins, de rochers, de chaumes et de ruisseaux. Un beau voyage, en photographies mais aussi en peintures, qui nous relie à « l’âme des montagnes ».