Du 15 septembre au 13 octobre
Annick Mischler peint des mondes naissants, présents ou disparus, parcourus par la vitalité de la nature agissante. Elle interroge notre présence au monde et met en œuvre une peinture de gestes-trace expressive et vibrante qui laisse aussi la place à un mystère qui nous dépasse, celui de la vie qui ne cesse de produire de nouvelles formes.